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L’examen d’agrément de la SQRP, qui devait avoir lieu le 1er mai 2021, est reporté au 2 octobre 2021.

Dans le contexte de la pandémie de la COVID-19 et des directives de la Santé publique, la SQRP a choisi de reporter à nouveau son examen d’agrément 2021 à l’automne.

L’examen ne peut, en effet, se tenir en mode virtuel.

Voici les dates à retenir :

  • Mardi 14 septembre 2021 : Date limite pour l’envoi du dossier de candidature.
  • Samedi 2 octobre 2021 : Examen d’agrément, en salle, à Montréal.

Vous songez depuis quelque temps à devenir rédacteur agréé ou rédactrice agréée? Lancez-vous en 2021! Pour en savoir davantage dès maintenant, visitez la page suivante : En 2021, démarquez-vous.

 

L’examen d’agrément de la SQRP, qui a normalement lieu en février, sera reporté au samedi 1er mai 2021.

Dans le contexte de la pandémie de la COVID-19 et des directives de la Santé publique, la SQRP a choisi de reporter son examen d’agrément 2021 au printemps.

L’examen ne peut, en effet, se tenir en mode virtuel.

Ce report permettra aussi de faciliter les déplacements des candidats et candidates qui habitent à l’extérieur de Montréal – la neige sera chose du passé et la température plus clémente.

Voici les dates à retenir :

  • Jeudi 4 février 2021 : Soirée d’information sur l’examen et le processus menant à l’obtention du titre de réd. a. Si vous souhaitez participer à cette séance virtuelle, veuillez manifester votre intérêt en écrivant à agrement@sqrp.org.
  • Samedi 9 avril 2021 : Date limite pour l’envoi du dossier de candidature.
  • Samedi 1er mai 2021 : Examen d’agrément, en salle, à Montréal.

Vous songez depuis quelque temps à devenir rédacteur agréé ou rédactrice agréée? Lancez-vous en 2021! Pour en savoir davantage dès maintenant, visitez la page suivante : En 2021, démarquez-vous.

 

Par Louise Boulet, réd. a.

 

 

La pandémie a porté un grand coup à vos affaires et les clients tardent à refaire surface? Voici six trucs pour relancer la machine.

1. Faites « marcher » vos contacts

Vous avez appris qu’un ancien collègue avait changé d’emploi? N’hésitez pas à l’appeler pour le féliciter. Le bon vieux téléphone a encore la cote en pareille situation.

Renseignez-vous sur son poste et ses nouvelles responsabilités, et proposez-lui vos services.

Usez d’ingéniosité et « créez » des besoins chez votre interlocuteur, besoins que vous pourrez évidemment combler…

Demandez une rencontre, invitez-le à casser la croûte. Battez le fer pendant qu’il est chaud!

2. Utilisez LinkedIn

Commencez par mettre votre profil à jour en indiquant le type de mandat ou d’emploi que vous cherchez et en précisant vos dernières réalisations. Demandez des recommandations à vos contacts ou anciens collègues (voir la section Solliciter une recommandation de votre profil LinkedIn).

En plus de proposer gratuitement des offres d’emploi, LinkedIn s’avère tout indiqué pour vous tenir au courant des allées et venues de vos connaissances sur le marché du travail.

Consultez votre réseau régulièrement pour être au fait des nouveautés.

Félicitez vos relations pour leurs réalisations. Aimez leurs commentaires.

Un membre LinkedIn affiche un poste ou se dit à la recherche d’un collaborateur ou d’une collaboratrice pour un projet? Soyez le premier ou la première à répondre à la demande. Osez!

Proposez vos services : rédigez un message dans lequel vous informerez vos relations de votre disponibilité, du type de travail que vous cherchez, etc.

3. Suivez les pages réservées aux langagiers et langagières sur Facebook

À l’instar de LinkedIn, Facebook peut vous aider à relancer vos affaires. Les différentes pages réservées aux spécialistes de la langue contiennent souvent des offres de mandat qui proviennent de collègues débordés. Suivez ces pages :

  • Groupe de discussion du Carrefour des langagiers entrepreneurs (CLEF)
  • Écrire comme un.e pro
  • Correctrices en détresse
  • Réviseuses et réviseurs, partageons!

4. Adoptez une attitude gagnante

Ce n’est pas parce que les affaires sont difficiles que vous devez avoir l’air abattu. Bien au contraire.

Si vous doutez, si vous semblez manquer de confiance ou que vous craignez le rejet, votre interlocuteur le sentira. Même à l’écrit.

Faites preuve de positivisme et de franchise. N’hésitez pas à avouer que les temps sont durs à cause de la pandémie, sans toutefois tomber dans le mélodrame.

5. Faites-vous connaître

Pour qu’un client communique avec vous pour un mandat, ou un employeur pour un emploi, il doit avoir entendu parler de vous. Alors, multipliez les collaborations pour faire connaître votre style, vos domaines d’expertise, vos talents, quoi!

Quelques idées :

  • Devenez membre d’un conseil d’administration : vous développerez des relations intéressantes qui pourraient vous apporter de l’eau au moulin.
  • Votre site Web ne comporte pas de blogue? Offrez vos services pour la rédaction de billets à des collègues ou, pourquoi pas (!), à la SQRP. Ensuite, publiez votre texte sur vos pages LinkedIn et Facebook, et demandez à vos connaissances de partager vos publications.

6. Consultez les sites d’emploi

Les sites d’emploi s’avèrent des sources intéressantes d’information si vous cherchez du travail. Certains sont réservés aux pigistes, alors que d’autres offrent tant des emplois permanents que des contrats à la pige. Parmi les sites disponibles :

  • Pige Québec et preneurs.ca (Canada) s’adressent exclusivement aux pigistes. Vous devez payer un abonnement annuel pour accéder au détail des offres et présenter vos services.
  • Le site gratuit Indeed propose des emplois permanents – rarement des contrats à la pige.
  • optioncarrière et neuvoo offrent gratuitement des emplois permanents et des contrats à la pige.

Et si vous cherchez un emploi en communications, ces sites vous donneront un coup de main :

 


Rédactrice agréée depuis 2015, Louise Boulet a commencé à jouer avec les mots il y a près de 30 ans. Elle aime structurer l’information pour éviter la redite, ainsi que trouver le bon angle et le ton approprié pour créer des textes simples, clairs et efficaces qui sont lus et, surtout, compris. Elle écrit pour des entreprises de différents domaines d’activité et cette diversité la nourrit.

louiseboulet.ca

Par Louise Boulet, réd. a.

 

 

Vous avez développé de « mauvaises » habitudes au cours des derniers mois et peinez à vous reprendre en main? Voici quelques trucs pour une routine qui vous donnera de l’élan!

1. Faites une liste : pour un portrait global

Dressez la liste de toutes les activités que vous voulez accomplir chaque jour, indiquez le temps requis pour chacune, puis précisez l’heure à laquelle vous souhaitez les réaliser.

N’oubliez pas le café du matin – hyper important! –, l’appel à votre maman âgée ou à une personne qui vous est chère, la balade à l’extérieur pour prendre l’air ou toute autre activité essentielle à votre bien-être.

2. Tirez profit de vos pointes de productivité

Vous savez pertinemment que votre cerveau est au mieux très tôt le matin? Jumelez votre premier café de la journée à une période de travail et profitez d’un esprit alerte.

Vous vous sentez un peu moche après le repas du midi? Allez jouer dehors. En plus de bouger, vous oxygénerez votre cerveau pour la suite.

16 h sonne la fin de votre efficacité? Préparez le souper tranquillement, à votre rythme. Qui a dit qu’il fallait A-B-S-O-L-U-M-E-N-T travailler jusqu’à 17 h?

3. Soyez réaliste

Si vous avez établi que vous devez vous lever à 5 h et vous coucher à minuit pour accomplir toutes les activités de votre journée, revoyez vos priorités.

N’écourtez pas vos nuits : vous en paierez le prix rapidement.

4. Lancez-vous!

Pour une routine efficace, la discipline s’impose.

Ne reportez pas vos tâches : vous avez décidé d’aller sous la douche, de ranger votre chambre, puis de prendre votre petit-déjeuner dès votre lever? Accomplissez ces activités dès votre sortie du lit. Dans l’ordre.

5. Ajustez votre horaire au besoin

L’horaire établi ne vous semble pas optimal? Ajustez-le pour qu’il corresponde vraiment à votre réalité. Puis laissez l’habitude s’installer.

 


Rédactrice agréée depuis 2015, Louise Boulet a commencé à jouer avec les mots il y a près de 30 ans. Elle aime structurer l’information pour éviter la redite, ainsi que trouver le bon angle et le ton approprié pour créer des textes simples, clairs et efficaces qui sont lus et, surtout, compris. Elle écrit pour des entreprises de différents domaines d’activité et cette diversité la nourrit.

louiseboulet.ca

Cohorte 2020

Bienvenue au nouveau et aux nouvelles membres agréés!

Plusieurs travaillent en édition, en cinéma, en tourisme, alors que d’autres œuvrent dans le secteur philanthropique, muséal ou scientifique. Vous avez déjà lu l’un de leurs textes publiés pour une organisation ou parus dans Le Devoir, dans Châtelaine ou à Radio-Canada. De qui parle-t-on? Des nouveaux membres agréés de la Société québécoise de la rédaction professionnelle (SQRP) 2020!

Chaque printemps, la SQRP accueille les gens qui ont réussi l’examen annuel d’agrément. Cette année, dix femmes et un homme peuvent désormais ajouter, avec fierté, le titre « rédacteur agréé » ou « rédactrice agréée » à leur nom.

La SQRP félicite donc ses nouveaux membres :

Même en mode virtuel, la cérémonie d’accueil du 27 mai était empreinte de joie, de reconnaissance et de chaleur humaine.

La SQRP : l’endroit par excellence pour trouver des rédactrices et rédacteurs professionnels

La SQRP propose aux entreprises un bassin de collaborateurs aux compétences reconnues en communication écrite. Ces spécialistes de la rédaction professionnelle savent trouver les mots, le ton et le style pour passer le message d’une entreprise et lui permettre ainsi d’atteindre ses objectifs d’affaires.

Par Louise Boulet, réd. a.

Vous avez envoyé un chef-d’œuvre (!) à un client et vous attendez fébrilement ses commentaires (lire éloges). Il se montre satisfait de votre texte, mais il s’est laissé emporter par un élan créatif et y a apporté des modifications que vous jugez malheureuses. En fait, votre chef-d’œuvre en a pris pour son rhume! Que faire?

1. Demandez-lui pourquoi il a modifié le texte original 

Ce n’est pas tout à fait ce qu’il voulait dire?

  • Discutez avec lui du message qu’il souhaite passer. Si vous avez mal interprété ses intentions, demandez-lui de vous les expliquer à nouveau. Échangez. Donnez des exemples. Utilisez des analogies. Reformulez ses propos.
  • Puis reprenez en vos mots ce que vous avez compris pour vérifier si son idée est bel et bien arrêtée, ainsi que pour vous assurer d’une compréhension partagée.

Ce que vous avez écrit n’est pas complet?

  • Il arrive parfois qu’un client réalise qu’il a oublié de vous faire part de certaines informations nécessaires à une couverture plus exhaustive de son sujet.
  • Il procède alors lui-même aux modifications, les renseignements à ajouter étant clairs dans son esprit.
  • Dans ce cas comme dans le précédent, échangez avec lui pour vous assurer de bien comprendre les informations qu’il souhaite ajouter.

La tournure utilisée ne lui plaît pas?

  • Si votre choix de mots ne lui convient pas, proposez-lui une autre façon de dire la même chose.
  • Conservez un dictionnaire de synonymes à portée de main : vous serez rapidement en mesure de lui faire des propositions.

2.  Sortez l’artillerie lourde : des références, des « preuves »

Vous avez écrit « pallier LE manque de… » et votre client a remplacé par « pallier AU manque de… », croyant dur comme fer que vous avez commis une erreur.

  • Informez-le par courriel – les paroles s’envolent, les écrits restent! – que vous ne vous êtes pas trompé et accompagnez votre message d’un lien à un ouvrage en ligne fiable qui confirme ce que vous avancez.
  • Vous pouvez aussi reproduire l’information d’un dictionnaire ou ouvrage de référence papier en prenant bien soin de citer votre source.
  • Portez attention aux mots ou expressions utilisés ailleurs dans la francophonie : vous pourriez penser qu’il a commis des erreurs alors que ses modifications sont correctes en fonction du public ciblé.

Quelques liens utiles gratuits :

Un outil payant intéressant :

  • Antidote : un correcteur, des dictionnaires et des guides pour vous soutenir dans votre rédaction

3.  Gardez le contrôle de la plume

Peu importe la situation, expliquez à votre client qu’il est préférable que vous repreniez la plume pour modifier le texte dans le but de :

  • Garantir l’uniformité du style;
  • Respecter le ton;
  • Créer une histoire qui coule mieux;
  • Produire un texte plus agréable à lire.

Il hésite pour ne pas vous « déranger »? Rassurez-le :

  • Vous avez le souci de lui donner entière satisfaction.
  • La réécriture fait partie de votre mandat.
  • Vous aimeriez inclure le texte à votre portfolio et, conséquemment, vous devez le rédiger du début à la fin.
  • Vous devez absolument procéder à une révision plus en profondeur du texte à la suite de ses modifications pour vous assurer qu’il ne comporte pas de zeugmes, d’anacoluthes, d’impropriétés ou d’anglicismes… L’utilisation de mots « savants » devrait le convaincre que vous êtes la personne la mieux placée pour finaliser le document.

4.  Respirez par le nez : le client n’a-t-il pas toujours raison?

Votre client vous assure qu’il ADORE la rédaction et que vous n’avez pas à vous préoccuper de ses quelques petits changements? Lâchez prise!

En tant que rédacteur ou rédactrice, vous êtes la plupart du temps un travailleur de l’ombre et les textes que vous rédigez ne sont habituellement pas signés. Personne ne saura…

Souriez, la vie est belle!

 


Rédactrice agréée depuis 2015, Louise Boulet a commencé à jouer avec les mots il y a près de 30 ans. Elle aime structurer l’information pour éviter la redite, ainsi que trouver le bon angle et le ton approprié pour créer des textes simples, clairs et efficaces qui sont lus et, surtout, compris. Elle écrit pour des entreprises de différents domaines d’activité et cette diversité la nourrit.

louiseboulet.ca