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- 14 septembre 2020
Par Louise Boulet, réd. a.
Vous avez développé de « mauvaises » habitudes au cours des derniers mois et peinez à vous reprendre en main? Voici quelques trucs pour une routine qui vous donnera de l’élan!
1. Faites une liste : pour un portrait global
Dressez la liste de toutes les activités que vous voulez accomplir chaque jour, indiquez le temps requis pour chacune, puis précisez l’heure à laquelle vous souhaitez les réaliser.
N’oubliez pas le café du matin – hyper important! –, l’appel à votre maman âgée ou à une personne qui vous est chère, la balade à l’extérieur pour prendre l’air ou toute autre activité essentielle à votre bien-être.
2. Tirez profit de vos pointes de productivité
Vous savez pertinemment que votre cerveau est au mieux très tôt le matin? Jumelez votre premier café de la journée à une période de travail et profitez d’un esprit alerte.
Vous vous sentez un peu moche après le repas du midi? Allez jouer dehors. En plus de bouger, vous oxygénerez votre cerveau pour la suite.
16 h sonne la fin de votre efficacité? Préparez le souper tranquillement, à votre rythme. Qui a dit qu’il fallait A-B-S-O-L-U-M-E-N-T travailler jusqu’à 17 h?
3. Soyez réaliste
Si vous avez établi que vous devez vous lever à 5 h et vous coucher à minuit pour accomplir toutes les activités de votre journée, revoyez vos priorités.
N’écourtez pas vos nuits : vous en paierez le prix rapidement.
4. Lancez-vous!
Pour une routine efficace, la discipline s’impose.
Ne reportez pas vos tâches : vous avez décidé d’aller sous la douche, de ranger votre chambre, puis de prendre votre petit-déjeuner dès votre lever? Accomplissez ces activités dès votre sortie du lit. Dans l’ordre.
5. Ajustez votre horaire au besoin
L’horaire établi ne vous semble pas optimal? Ajustez-le pour qu’il corresponde vraiment à votre réalité. Puis laissez l’habitude s’installer.
Rédactrice agréée depuis 2015, Louise Boulet a commencé à jouer avec les mots il y a près de 30 ans. Elle aime structurer l’information pour éviter la redite, ainsi que trouver le bon angle et le ton approprié pour créer des textes simples, clairs et efficaces qui sont lus et, surtout, compris. Elle écrit pour des entreprises de différents domaines d’activité et cette diversité la nourrit.
- 29 mai 2020
Cohorte 2020
Bienvenue au nouveau et aux nouvelles membres agréés!
Plusieurs travaillent en édition, en cinéma, en tourisme, alors que d’autres œuvrent dans le secteur philanthropique, muséal ou scientifique. Vous avez déjà lu l’un de leurs textes publiés pour une organisation ou parus dans Le Devoir, dans Châtelaine ou à Radio-Canada. De qui parle-t-on? Des nouveaux membres agréés de la Société québécoise de la rédaction professionnelle (SQRP) 2020!
Chaque printemps, la SQRP accueille les gens qui ont réussi l’examen annuel d’agrément. Cette année, dix femmes et un homme peuvent désormais ajouter, avec fierté, le titre « rédacteur agréé » ou « rédactrice agréée » à leur nom.
La SQRP félicite donc ses nouveaux membres :
- Hélène Bélisle, réd. a.
- Ariane Bilodeau, réd. a.
- Lorraine Boutin, réd. a.
- Astrid Debeissat, réd. a.
- Séverine Defouni, réd. a.
- Jean-Yves Girard, réd. a.
- Lison Lescarbeau, réd. a.
- Francine Loubert, réd. a.
- Geneviève Murray, réd. a.
- Elizabeth Pouliot, réd. a.
- Sarah Richer, réd. a.
Même en mode virtuel, la cérémonie d’accueil du 27 mai était empreinte de joie, de reconnaissance et de chaleur humaine.
La SQRP : l’endroit par excellence pour trouver des rédactrices et rédacteurs professionnels
La SQRP propose aux entreprises un bassin de collaborateurs aux compétences reconnues en communication écrite. Ces spécialistes de la rédaction professionnelle savent trouver les mots, le ton et le style pour passer le message d’une entreprise et lui permettre ainsi d’atteindre ses objectifs d’affaires.
- 20 mai 2020
Par Louise Boulet, réd. a.
Vous avez envoyé un chef-d’œuvre (!) à un client et vous attendez fébrilement ses commentaires (lire éloges). Il se montre satisfait de votre texte, mais il s’est laissé emporter par un élan créatif et y a apporté des modifications que vous jugez malheureuses. En fait, votre chef-d’œuvre en a pris pour son rhume! Que faire?
1. Demandez-lui pourquoi il a modifié le texte original
Ce n’est pas tout à fait ce qu’il voulait dire?
- Discutez avec lui du message qu’il souhaite passer. Si vous avez mal interprété ses intentions, demandez-lui de vous les expliquer à nouveau. Échangez. Donnez des exemples. Utilisez des analogies. Reformulez ses propos.
- Puis reprenez en vos mots ce que vous avez compris pour vérifier si son idée est bel et bien arrêtée, ainsi que pour vous assurer d’une compréhension partagée.
Ce que vous avez écrit n’est pas complet?
- Il arrive parfois qu’un client réalise qu’il a oublié de vous faire part de certaines informations nécessaires à une couverture plus exhaustive de son sujet.
- Il procède alors lui-même aux modifications, les renseignements à ajouter étant clairs dans son esprit.
- Dans ce cas comme dans le précédent, échangez avec lui pour vous assurer de bien comprendre les informations qu’il souhaite ajouter.
La tournure utilisée ne lui plaît pas?
- Si votre choix de mots ne lui convient pas, proposez-lui une autre façon de dire la même chose.
- Conservez un dictionnaire de synonymes à portée de main : vous serez rapidement en mesure de lui faire des propositions.
2. Sortez l’artillerie lourde : des références, des « preuves »
Vous avez écrit « pallier LE manque de… » et votre client a remplacé par « pallier AU manque de… », croyant dur comme fer que vous avez commis une erreur.
- Informez-le par courriel – les paroles s’envolent, les écrits restent! – que vous ne vous êtes pas trompé et accompagnez votre message d’un lien à un ouvrage en ligne fiable qui confirme ce que vous avancez.
- Vous pouvez aussi reproduire l’information d’un dictionnaire ou ouvrage de référence papier en prenant bien soin de citer votre source.
- Portez attention aux mots ou expressions utilisés ailleurs dans la francophonie : vous pourriez penser qu’il a commis des erreurs alors que ses modifications sont correctes en fonction du public ciblé.
Quelques liens utiles gratuits :
- La Banque de dépannage linguistique de l’Office québécois de la langue française : un répertoire d’articles qui répondent à des questions d’ordre linguistique, rédactionnel et communicationnel : grammaire, orthographe, syntaxe, vocabulaire, emprunts à l’anglais, féminisation, correspondance, etc.
- Termium Plus : la base de données terminologiques et linguistiques du gouvernement du Canada.
Un outil payant intéressant :
- Antidote : un correcteur, des dictionnaires et des guides pour vous soutenir dans votre rédaction
3. Gardez le contrôle de la plume
Peu importe la situation, expliquez à votre client qu’il est préférable que vous repreniez la plume pour modifier le texte dans le but de :
- Garantir l’uniformité du style;
- Respecter le ton;
- Créer une histoire qui coule mieux;
- Produire un texte plus agréable à lire.
Il hésite pour ne pas vous « déranger »? Rassurez-le :
- Vous avez le souci de lui donner entière satisfaction.
- La réécriture fait partie de votre mandat.
- Vous aimeriez inclure le texte à votre portfolio et, conséquemment, vous devez le rédiger du début à la fin.
- Vous devez absolument procéder à une révision plus en profondeur du texte à la suite de ses modifications pour vous assurer qu’il ne comporte pas de zeugmes, d’anacoluthes, d’impropriétés ou d’anglicismes… L’utilisation de mots « savants » devrait le convaincre que vous êtes la personne la mieux placée pour finaliser le document.
4. Respirez par le nez : le client n’a-t-il pas toujours raison?
Votre client vous assure qu’il ADORE la rédaction et que vous n’avez pas à vous préoccuper de ses quelques petits changements? Lâchez prise!
En tant que rédacteur ou rédactrice, vous êtes la plupart du temps un travailleur de l’ombre et les textes que vous rédigez ne sont habituellement pas signés. Personne ne saura…
Souriez, la vie est belle!
Rédactrice agréée depuis 2015, Louise Boulet a commencé à jouer avec les mots il y a près de 30 ans. Elle aime structurer l’information pour éviter la redite, ainsi que trouver le bon angle et le ton approprié pour créer des textes simples, clairs et efficaces qui sont lus et, surtout, compris. Elle écrit pour des entreprises de différents domaines d’activité et cette diversité la nourrit.
- 22 avril 2020
Le lecteur est paresseux, c’est bien connu. Voici 5 trucs qui vous aideront à rédiger des textes qui susciteront son intérêt et qu’il aura envie de lire jusqu’au bout.
1. Structurez votre pensée avant de vous lancer
Avant d’écrire, définissez votre objectif de communication. Voulez-vous informer? Divertir? Faire réfléchir? Provoquer l’action?
Ensuite, regroupez vos idées et faites un plan. Décidez de l’ordre des idées et trouvez le lien entre elles. Votre plan n’a pas à être très élaboré, mais suffisamment détaillé pour que l’information soit bien structurée en fonction de l’objectif à atteindre. Pour que votre « histoire » coule.
2. Mariez phrases simples et complexes
Écrire des phrases simples constitue le meilleur moyen de ne pas s’empêtrer dans la syntaxe ou un raisonnement compliqué.
Toutefois, il n’y a rien de tel pour maintenir l’intérêt du lecteur que de miser sur un heureux mélange de phrases simples et de phrases un peu plus complexes, car bannir ces dernières reviendrait à renoncer au rythme, au style et à la nuance dans le texte.
Construisez vos phrases complexes de façon à ce qu’elles expriment des idées liées entre elles. Et si le résultat ne semble pas clair, faites deux phrases.
3. Visez la cohésion
Pour comprendre un texte et s’y intéresser, le lecteur a besoin de voir les liens entre la phrase A et la phrase B. Et c’est ici que les charnières entrent en jeu. Elles lient entre elles les diverses parties d’une phrase, d’un paragraphe ou d’un texte, facilitent la compréhension du rapport entre ces parties et évitent que le lecteur s’égare.
Articles indéfinis, adjectifs démonstratifs et possessifs, pronoms ou adverbes, les charnières marquent la progression d’un texte, introduisent un sujet, marquent une comparaison ou une opposition, introduisent une conclusion, et plus encore.
Toutefois, il est important de ne pas en abuser pour éviter d’alourdir le texte inutilement.
4. Privilégiez les cooccurrences
Les cooccurrences se définissent comme des associations habituelles ou préférentielles de deux mots. [Source : Antidote]
Ce sont des expressions utilisées couramment qui contribuent à la compréhension du lecteur. Elles lui sont familières, il connaît leur signification. Il les comprend sans effort. Il peut donc poursuivre sa lecture aisément sans se poser de question sur leur sens.
Des exemples, selon le dictionnaire Antidote?
- Célibataire endurci
- Refuser catégoriquement
- Dresser un bilan
5. Laissez « reposer » votre texte avant de le rendre
Satisfait de votre chef-d’œuvre? Laissez-le de côté jusqu’au lendemain si vous avez le loisir d’attendre avant de le rendre.
Imprimez-le. D’après certaines études, la lecture sur papier permet de mieux comprendre un texte. Et selon ma propre expérience, elle fait ressortir des coquilles ou des répétitions qui m’ont échappé à l’écran.
Relisez-le à tête reposée. Vous le verrez peut-être sous un autre jour et pourrez alors le resserrer, le dynamiser, le peaufiner.
Demandez aussi à un collègue de le relire et gardez l’esprit ouvert pour accueillir les propositions qu’il vous fait.
Votre texte vous convient tel quel? Vous avez vraiment créé un chef-d’œuvre!
Bonne rédaction.
Rédactrice agréée depuis 2015, Louise Boulet a commencé à jouer avec les mots il y a près de 30 ans. Elle aime structurer l’information pour éviter la redite, ainsi que trouver le bon angle et le ton approprié pour créer des textes simples, clairs et efficaces qui sont lus et, surtout, compris. Elle écrit pour des entreprises de différents domaines d’activité et cette diversité la nourrit. louiseboulet.ca
- 21 avril 2020
Il y a quelques mois, j’ai reçu par la poste un document dûment plié malgré la timide exhortation qui suppliait le facteur d’en réfréner l’envie. « Peu importe! », ai-je pensé en ouvrant avec une joie sauvage l’enveloppe contenant mon diplôme de graphiste.
Ce modeste bout de papier confirmait en grande pompe la fin de cinq longues années à passer la majeure partie de mes temps libres avec un ordinateur portable sur les genoux tout en maudissant cette impulsion qui m’avait poussée à m’inscrire pour le plaisir à une attestation d’études collégiales en graphisme au collège Ahuntsic.
Finis les exercices et travaux complexes au moyen de logiciels comprenant des millions de combinaisons de fonctions encore plus complexes, le dos courbé sur un écran de 13 pouces, assise dans un divan trop mou à rater toutes les séries de l’heure. Mon salon pourrait enfin retrouver sa fonction initiale de havre de paix dans le tumulte de mon quotidien. En résumé, j’étais ivre de liberté.
La rédaction au temps du coronavirus
Puis arriva la situation que vous connaissez… COVID-19 oblige, je me suis retrouvée de nouveau enchaînée à ce même portable, le dos courbé dans ce divan trop mou, à la différence que ma sentence se déroule maintenant en mode télétravail pendant les heures ouvrables… Bien sûr, je reconnais que ma position est tout de même enviable. Je dirais même plus que je suis bénie des dieux de pouvoir continuer à pratiquer mon métier dans le « confort » de mon foyer. Je le sais et j’en remercie quotidiennement la providence (tout en lui soufflant à l’oreille qu’un retour à la normale dans un délai raisonnable mais rapide contribuerait encore plus à maintenir sa bonne réputation).
Passé le choc de cette crise planétaire qui nous touche autant à titre personnel que professionnel (et après avoir fait ma provision réglementaire de pâtes alimentaires et de papier hygiénique…), je me suis retroussé les manches et ai secoué mes neurones pour qu’elles retombent dans les bonnes cases.
Rien ne m’empêche de faire mon travail de chez moi! me suis-je convaincue. En plus, je serai prémunie contre les « dangers » du travail à domicile, les ayant listés avec humour de long en large dans mon Guide impertinent du rédacteur : pas de Netflix, seulement des visites contrôlées au réfrigérateur, une douche chaque matin et des habits de ville propres avant d’ouvrir la boutique!
Un nouveau quotidien s’installe
Puis les demandes habituelles de révision et de rédaction ont commencé à m’être acheminées par les membres de mon organisation (nombreux à me nommer « Réda » en hommage à mon titre de rédactrice agréée).
Tout en gardant un oeil sur les nouvelles catastrophiques, je me suis attelée à la tâche avec application.
Un message corporatif à écrire? Certainement! Laisse-moi quelques minutes pour y penser et je te ponds quelque chose.
Un communiqué à réviser? Bien sûr!
Hum… Je ne vais faire qu’une seule lecture sur papier, ai-je pensé. Avec cette nouvelle imprimante intelligente dont la seule intelligence consiste à refuser toute cartouche autre que les siennes vendues à prix d’or, qui sait quand je pourrai me fournir lorsque celle-ci aura craché tout son fiel? Après tout, on me répète depuis des années que je peux très bien réviser à l’écran (malgré les réserves que j’ai insérées noir sur blanc dans mon guide).
Les conséquences des circonstances
Ayant retourné le communiqué dûment révisé à mon collègue, j’eus un hoquet en voyant le résultat sur le fil de presse :
Plus d’une trentaine de compagnies ont déjà offert leur aide. Certaines ont été qualifiés de services essentiels…
Non! Pourquoi avait-il ajouté cette phrase sans me faire relire une deuxième version?
Inquiète, j’entrepris de relire l’ensemble du communiqué pour lui signaler toute autre nouvelle coquille devant être rattrapée. Sans surprise, j’en ai trouvé une… de mon cru! Un vilain « du » oublié qui avait échappé à ma légendaire vigilance.
On respire, on garde son calme! Voilà simplement le résultat de mon « trouble d’adaptation » au télétravail. J’ai toujours eu l’habitude d’omettre les particules en tout genre. Rien de nouveau. Sur papier, je l’aurais vu ce fichu du!
Rassérénée, j’ai repris ma carrière de rédactrice, gonflée d’une motivation à toute épreuve.
Un autre communiqué se présenta sur la chaîne de montage. Au diable la cartouche d’encre et faisons une révision traditionnelle sur papier!
Confiante en ma révision, je transmis le résultat à ma collègue, mais lui offris généreusement un peu plus tard d’y ajouter une citation extraite d’une allocution pour un dignitaire sur laquelle je travaillais. Elle accepta avec enthousiasme. Voilà qui aurait un effet boeuf dans son communiqué!
Une coquille après l’autre…
Quelques heures plus tard, je vis ce communiqué diffusé avec grandiloquence dans le fil de presse avec, dans ma citation ajoutée, la perle suivante :
… nos employés demeurent à votre service avec le concourt de l’équipe…
J’en étais à chercher l’orthographe du mot « hara-kiri » pour ma lettre d’adieu quand arriva dans ma boîte de réception un message encourageant de notre plus haut dirigeant. Et quand je dis « encourageant », ce n’est pas seulement sur le plan de la teneur mais aussi pour ce que j’y ai lu :
…qui prennent le relai en…
Puis, dans les heures suivantes, je me mis à remarquer coquille sur coquille dans toutes les sources d’information que je consultais! Même les plus rigoureuses!
Les rédacteurs et rédactrices sont humains
Et pourquoi pas? Tous les rédacteurs et rédactrices de ces sources prennent place dans le même bateau. Notre 100 % en mesures d’urgence ne correspond peut-être pas au 100 % de n’importe quel mardi après-midi d’avant, mais nous pouvons être fiers de continuer à ramer. Accordons-nous, tout comme aux autres rameurs, un brin d’indulgence tant que durera la crise.
Après trois semaines d’apathie les soirs de semaine à enfiler les rangs d’un tricot rose qui sera certainement trop petit ou trop grand au bout du compte, j’ai ressenti de nouveau cette envie furieuse de m’exprimer sur notre métier. Je considère que c’est un très bon signe et vous souhaite d’avoir également renoué avec ce qui vous faisait auparavant vibrer.
Quoi de mieux pour conclure que de répéter avec conviction que « ça va bien aller » (que, dans un moment de fatigue, je me surprendrai peut-être à écrire « sa va bien allé »)!
Chargée de communications et membre du conseil d’administration de la SQRP, Josée Boudreau se spécialise dans la rédaction et la révision de communiqués, d’allocutions, de publications et autres pour un arrondissement montréalais. Parallèlement, elle se plaît à encourager et à soutenir la relève, ce qui lui a inspiré l’écriture du Guide impertinent du rédacteur, publié en 2019 aux éditions au Carré.
- 24 mars 2020
[vc_row][vc_column][vc_message message_box_color=”alert-warning” icon_type=”pixelicons” icon_pixelicons=”vc_pixel_icon vc_pixel_icon-alert”]Le conseil d’administration de la SQRP reporte sine die les activités qu’il avait planifiées pour ce printemps à Montréal, à Québec et sur le Web. C’est le cas bien entendu de notre assemblée générale annuelle, prévue pour le 1er avril 2020. Une nouvelle date sera annoncée dès que la situation le permettra.[/vc_message][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width=”2/3″][vc_column_text]
Travail de nos bénévoles
Entretemps, nos bénévoles continuent la correction des examens d’agrément de 2020. Le conseil poursuit son engagement à promouvoir le titre de réd. a., ainsi qu’à organiser de nouvelles activités de formation et de réseautage qui seront offertes lorsque les circonstances seront plus favorables.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/3″][vc_single_image image=”4455″ img_size=”medium”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]
La communauté des réd. a. en ligne
Notre équipe est consciente que, pour plusieurs d’entre vous, employés ou pigistes, cette période de ralentissement économique pose aussi des problèmes financiers. Vous trouverez sur nos pages Facebook et LinkedIn des articles pour vous aider à faire face à cette conjoncture. Si vous souhaitez partager des informations avec les membres de la SQRP à cet égard, ou sur tout sujet pouvant intéresser nos membres, ces deux lieux sont bien sûr à votre disposition.
Pensez aux petits plaisirs
Toutes et tous, nous traversons des temps difficiles où nous devons rebâtir nos repères, conserver notre équilibre et éviter de trop penser à l’avenir. Pour nous aider, nous pouvons heureusement compter sur notre famille et sur nos réseaux personnels et professionnels. Et aussi, sur tout ce qui nous fait du bien : pour certaines personnes, il s’agira de lecture, de musique, de films ou de jeux de société; pour d’autres, ce sera plutôt de faire du sport, de la méditation ou de la cuisine. Bref, voici l’occasion de trouver ou de retrouver les petits et grands plaisirs de la vie chez soi!
Prenez soin de vous et de votre entourage. En respectant les consignes sanitaires, nous sortirons plus rapidement de la situation!
Bien cordialement,
Marie-Noël Pichelin, réd. a.
Présidente de la SQRP
Au nom des membres du conseil d’administration : Louise Boulet, Line Gosselin, Martine Grenier, Jean-François Major et Renée Senneville[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]